Grâce à son père, Karine Tomaselli est née et a baigné dans l’univers argentique de la photographie et les négatifs la fascinaient.Elle se souvient en avoir gardé pendant des années… on perdait le négatif, on n’avait plus la photo… Ses souvenirs vont aussi vers les diapositives qu’il fallait mettre à l’envers dans le chariot pour qu’elles soient vues à l’endroit au moment de la projection
et tout cela lui paraissait vraiment bizarre… En grandissant, elle a gardé cet attrait pour le monde de la photo et l’ère du numérique a fait son entrée.
et tout cela lui paraissait vraiment bizarre… En grandissant, elle a gardé cet attrait pour le monde de la photo et l’ère du numérique a fait son entrée.
Depuis 2009, Karine Tomaselli travaille sur des panoramiques instantanés représentant des univers inversés et l’idée lui est venue de pousser sa quête de l’image dans un autre sens, montrer des côtés opposés au sein d’une même image afin que le bizarre et le « normal » trouvent un équilibre… afin que des situations impossibles trouvent leur réalité dans le bizarre.
On se passerait volontiers du négatif mais c’est impossible, n’est-ce pas ?
On dit à K : « Toi, tu transformes tout en positif dans ta vie ! »
et à cela, elle répond qu’elle ne le fait pas exprès…
Ces photos sont donc des symbioses de deux prises à contre jour, un négatif et un positif sont superposés, des routes construites avec amour vers un équilibre.
On dit à K : « Toi, tu transformes tout en positif dans ta vie ! »
et à cela, elle répond qu’elle ne le fait pas exprès…
Ces photos sont donc des symbioses de deux prises à contre jour, un négatif et un positif sont superposés, des routes construites avec amour vers un équilibre.
Copyright 2017 © Karine Tomaselli
Tirages numérotés en 60×80 cm – Limités à 8 pour les éditions sous verre.
Exposés à l’Atelier des Ponchettes Nice & au Point K à Saint Raphaël.
Un Kliché Yin Yang vendu aux enchères au profit des familles victimes de l’attentat du 14 juillet
par la Maison de vente 4-Auction en octobre 2016 puis un, exposé à Monaco lors du salon annuel de l’Aiap Unesco.
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