Soutien +++ à La Cave Romagnan et à La Strada.
Anciennement travailleur indépendant en tant que créatrice d’objets d’arts, d’événements artistique et puis, photographe.
D’autres projets autour du théâtre viendront en leur temps…
2015 ? Belles d’Âmes présentée par l’AIAP UNESCO MONACO. Une série de portraits au profit d’associations et fondations dirigées par des femmes habitant la région PACA, Monégasque et qui soutiennent des causes. 25 portraits & 20 % de l’argent récolté reversé aux associations représentées.
La série KLIMATS² née en 2016, a fait également partie d’un projet d’expositions puis de contes écrits par Pascale CONCAS.
Ils sont alors présentés sur Monaco Monte-Carlo puis à Nice en 2017 sous forme de performances artistiques… ce qui a valu à K, de chanter en public !
Des portraits façon Belles d’Âmes ont été réalisés au profit du Centre Hospitalier Princesse Grace, dans le décor de l’Hôtel Métropole Monte-Carlo.
La dernière série de photo fut une série de photos de mode pour la marque La Môme de Monac’… En effet, atteinte de spondylarthrite ankylosante et touchée aux yeux, K n’a plus eu ni la force physique ni la vue nécessaire pour travailler avec un Reflex.
Le Forum Jorge François a organisé à cette occasion, une rétrospective de tout son travail photographique. Grâce à la bonté de Madame Marylaure Pastorelli, K continue d’exposer ses Univers Inversés pour les Rencontres Monaco Japon organisées par l’AIAP UNESCO MONACO.
Depuis cet épisode de santé, K recycle vos bijoux fantaisies. Elle continue leur création en les récupérant, les dépiautant et les nettoyant puis elle y ajoute des pierres naturelles et des perles venues de tous les pays. Voici comment est né BIJOUX KAILLOUX situé à Sospel. Un grand merci à Monsieur Jérémie ALDUINI pour son accompagnement dans la création de l’association BIJOUX KAILLOUX qui organisera bientôt pour vous, des ateliers et café-conférences ! Vous pouvez voir les trésors sur Instagram.
K est une artiste pluridisciplinaire qui donne sans compter quand le cœur y est… Prière de ne pas en abuser.
Au départ de mon film ‘Deux ou trois choses que je sais d’elle’ (à ce propos je vous précise que, elle, ce n’est pas Marina Vlady, mais la ville de Paris) il y a une enquête parue dans le Nouvel Observateur. Or, cette enquête rejoignait l’une de mes idées les plus enracinées. L’idée que pour vivre dans la société parisienne d’aujourd’hui, on est forcé, à quelque niveau que ce soit, à quelque échelon que ce soit, de se prostituer d’une manière ou d’une autre…
Jean-Luc Godard.
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